La Jeunesse sous Hitler
Ajouté par CoreDJ Dans Documentaires Le 27-03-2017 à 10:59

L’objectif d’Hitler : en faire des nationaux socialistes à part entière. Agés à peine de dix ans, ces enfants, garçons et filles, étaient enrôlés dans l’organisation nazie. Avant de rejoindre, à l’adolescence, les Jeunesses Hitlériennes, puis les troupes SS. Dans ce contexte, comment ont-ils vécu leur jeunesse ?
Partie 1 :
La Séduction :
Les mouvements fasciste et nazi ont compris dès le début l'importance de l'endoctrinement de la jeunesse, destiné à former de futurs serviteurs zélés.
Résumé :
Les garçons ou les filles, dans l'Allemagne des années 30, cherchaient souvent à échapper au climat de morosité dû à la dépression économique et aux luttes politiques de la République mourante. Ils trouvaient un attrait immédiat, mais illusoire, dans les activités proposées par les nazis au sein de leurs organisations de jeunesse. Sport, esprit d'aventure, solidarité de groupe figuraient au programme imaginé par les propagandistes du parti. Dès 1935, la moitié des jeunes Allemands âgés de 10 à 18 ans étaient membres des jeunesses hitlériennes. L'adhésion devint très vite obligatoire. En 1938, Hitler révélait son ambition : «Ils ne seront plus libres toute leur vie durant».
Partie 2 :
Le Dévouement :
Le témoignage de plusieurs femmes, membres durant leur enfance de la Ligue des jeunes filles allemandes, une des organisations nazies pour la jeunesse.
Résumé :
Comme nombre d'idéologies politiques, le national-socialisme a voulu créer un homme nouveau. Pour ce faire, Hitler a apporté un soin tout particulier à l'encadrement et à l'endoctrinement de la jeunesse. Aux côtés des Jeunesses hitlériennes, les plus connues, une multitude d'organisations étaient chargées d'inculquer les valeurs nazies aux générations futures. Plusieurs femmes, enrôlées dans la Ligue des jeunes filles allemandes - le BDM -, témoignent aujourd'hui de leur expérience.
Partie 3 :
La Discipline :
Le fondement de la pédagogie des écoles hitlériennes repose sur la discipline la plus aveugle et la soumission totale qui va jusqu'au sacrifice de la personne.
Résumé :
L'élite du peuple allemand se devait d'être formée dans des établissements spéciaux réservés à la «race des seigneurs». C'est dans ces établissements, dont Michel Tournier fit une saisissante description dans son «Roi des Aulnes», que naquit le mythe du surhomme nazi. Ecoles Adolf-Hitler, centres d'éducation surveillée et école du parti sur les bords du lac de Starnberg, en Bavière, constituaient l'armature pédagogique nazie. L'enseignement reposait sur l'apprentissage de la discipline militaire et l'acquisition d'une idéologie résumée aux termes de «croire, obéir, se battre». Pour entrer dans ces internats sélectionnés, qui attiraient les jeunes tentés par la pratique des disciplines sportives et le haut rang social espéré à la sortie, il fallait démontrer sa pure «aryanité».
Partie 4 :
La guerre :
Dans les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale, les Allemands embrigadés dans les «Hitlerjugend» payèrent de leur sang leur soumission au IIIe Reich.
Résumé :
Dès 1944, l'Allemagne nazie, sentant basculer l'équilibre des forces en sa défaveur, se jeta à corps perdu dans l'offensive russe. La division SS de la Jeunesse hitlérienne fut entièrement mise à contribution pour venir grossir les troupes de la Wehrmacht. Des dizaines de milliers de jeunes Allemands payèrent ainsi de leur vie leur soumission aux idéaux du IIIe Reich. L'humoriste Dieter Hildebrandt, les journalistes Peter Boenisch et Klaus Bölling ainsi que Günter Discher évoquent le souvenir de leur jeunesse au sein des «Hitlerjugend» et tentent de mettre en lumière les rouages qui firent d'eux les pantins soumis d'un héroïsme placé au service d'une idéologie meurtrière.
Partie 5 :
Le Sacrifice :
Les garçons de 15 puis de 12 ans, ainsi que des vieillards, furent engagés dans de sanglantes batailles livrées pour défendre les avant-postes de Breslau et de Königsberg. Les récalcitrants à l'embrigadement furent sommairement jugés et exécutés.
Résumé :
Les Russes aux portes de Berlin, cette vision apocalyptique, les généraux allemands tentèrent de la conjurer en s'abritant derrière le «Volkssturm», la levée en masse du peuple allemand, mobilisé comme un seul homme derrière son Führer pour défendre le sol de la patrie. Il est vrai que le Reich perdait 5000 hommes par jour et avait sans cesse besoin de renforts pour nourrir sa folie meurtrière. Des survivants du Volkssturm racontent les derniers mois du IIIe Reich. Parmi les témoins, le réalisateur du film «Le Pont», Bernhard Wicki.
Qualité : TVrip
Format : Divx
Langue : Français
Sous-titres : Aucun
Découpé avec : Aucun
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Taille du fichier : 3500 Mo
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Ces documentaires sont épatants mais hélas les liens sont morts. Serait-il possible de mettre de nouveaux liens ? Merci d'avance ! |